Kader AOUN - Productions

Jean-Yves Rupert

Jean-Yves Rupert

Présentation

Si cela ne vous dit rien c’est parce que vous n’êtes pas antillais ! Jean-Yves a débuté sa carrière il y a 25 ans pour devenir aujourd’hui à l’humour antillais ce que Kassav’ est à la musique !

Natif de la Martinique, Jean-Yves monte sur sa première scène à 10 ans seulement. C’est à partir de sa rencontre avec Jocelyn Régina, son ami et auteur fétiche, que Jean-Yves Rupert comprend qu’il n’a d’autre choix que de devenir humoriste.

Le succès est là dés 1990, et Jean-Yves participe à des festivals d’humour en Guadeloupe, en Guyane et bien sûr son talent s’exprime aussi en Métropole. Jean-Yves étonne et surprend par sa présence scénique remarquable. Il relance la scène locale martiniquaise en remplissant les salles lors de ses spectacles en solo et aussi grâce à la comédie « Le dorlis de ses dames », jouée des centaines de fois devant une salle comble.

La télévision lui fait du pied et il répond présent avec une série devenue culte dans tous les territoires d’outre mer : « Bankoulélé ». Les audiences de RFO et des chaines locales explosent et le personnage de Jean-Yves devient une icône de la rigolade.

En 2005, Jean-Yves écrit un nouveau spectacle et tourne dans les caraïbes où il fait salle comble à chaque représentation. Jean-Yves débarque à Paris sans aucune communication et joue neuf fois à guichets fermés au casino de Paris.

Pas mal. Mais c’est sans compter sur le 27 février 2010 ou plus de 7 000 spectateurs viennent l’applaudir sur la scène du Zénith de Paris. C’est le premier antillais de l’histoire à jouer un one man show sur cette scène mythique.

Jean-Yves en profite alors pour se rapprocher de la capitale et multiplier les apparitions dans les films et les téléfilms.

Remarqué par Kader Aoun et Mehdi Thierry lors du tournage du téléfilm « A La Maison pour Noël » où Jean-Yves donnait la réplique à Virginie Efira, il rejoint les talents des Productions de l’Abreuvoir et se produira sur la grande scène du Théâtre Le Temple à partir d’octobre 2012.